Comme l’indique son essence, la campagne de sensibilisation “Pouvoir de la Femme” s’inscrit à l’image d’une initiative pour laquelle plusieurs saluent le caractère salvateur, en quête d’un avenir radieux pour la République Démocratique du Congo.
Une approche décidément vantée avec exaltation, en considération de l’idéogramme naturel de l’association Kinshasa News Lab, organisatrice de cette activité, qui s’avoue continuellement à l’augmentation de la participation des femmes leaders aux discussions publiques sur des sujets socio-politiques essentiels à l’instar de l’environnement, l’égalité des genres, la gestion responsable des ressources naturelles, la résolution des conflits, mais aussi les réformes législatives.
Dans cette optique, une conférence-débat a été organisée ce mercredi 26 juin dans l’enceinte du luxueux Hôtel Memling à Kinshasa autour du thème « les quotas de femmes dans les processus électoraux en RDC ».
Christelle VUANGA est députée nationale depuis la législature 2018-2023. Au cours de ce forum de haut niveau, elle a brandi, comme l’une des panellistes du jour, son expérience personnelle entant que candidate, tout en appuyant le principe sacro-saint de construire son leadership dans son parti politique et ailleurs, en vue de conquérir le pouvoir et faire aboutir ses idées.
L’occasion pour l’expert électoral Pacifique NKUNZI d’établir, pour sa part, le contexte historique de la réforme de la loi électorale de juin 2O22, qui a comme objectif principal : l’augmentation dès lors du taux de participation de la femme congolaise à différentes échelles aux scrutins à venir, en considérant que la percée des femmes en politique se heurte constamment aux préjugés culturels.
À cela s’ajoutent l’essor de la représentation de la femme congolaise dans les assemblées provinciales du pays et l’irrecevabilité des listes non paritaire des partis politiques ou regroupements politiques au dépôt des candidatures, conformément à la nouvelle loi électorale.
Et pour conclure, Edith META Nkuli, en sa qualité d’assistante à la coordination de la Dynamique Nationale des Femmes Candidates (DYNAFEC) chargée de la communication, a encouragé la participation de la femme dans l’échiquier politique congolais, la lutte pour mettre fin aux Violences Basées sur le Genre (VBG) et la consolidation de la paix en RDC.
Essentiellement reconnu pour son combat de quête de l’émergence du géant Congo, “Kinshasa News Lab”, qui est un training centre, reste voué à l’accompagnement de bon nombre de projets journalistiques innovants à Kinshasa, en outre la vulgarisation du développement des jeunes entreprises novatrices dans le secteur médiatique.
Sa compagne dite « Pouvoir de la Femme », qui se déroule depuis le début de ce mois de juin finissant dans les villes de Kinshasa, Lubumbashi, Goma, Bukavu, Kisangani et Mbandaka, promeut l’augmentation de la participation des femmes leaders aux discussions publiques sur des thématiques socio-politiques pertinentes.
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