La plateforme “BOEM’S FESTIVE” tient au renforcement des capacités des jeunes congolais en général, et kinois en particulier.
À cet égard, cette structure, en collaboration avec GlobalNewRdc.Net, a organisé une formation sur plusieurs modules : Hôtellerie d’accueil événementiel, Make-up ainsi que relation publique et communication du lundi 19 au samedi 24 août dernier, dans l’enceinte de l’Université Islamique au Congo (UNICO).
Venus de différents coins et recoins de la capitale congolaise, les participants ont été outillés aux fondamentaux de l’entrepreneuriat, sans oublier les secteurs des arts et métiers.
Samedi 24 août, lors de la cérémonie de clôture, les panellistes ont abordé le thème “Travaillons pour la croissance des ressources de la Jeunesse et de la femme dans l’initiative des métiers”.
Spécialiste de la communication liée dans le monde des entreprises, RAICHA WEMBO a, pour sa part, martelé sur l’autoformation, une approche qui accorde à chaque individu la responsabilité propre de son développement personnel.
Elle a autant souligné le rôle décisif de l’autoformation dans le renforcement des compétences et la création d’une culture organisationnelle axée sur l’apprentissage non-stop.
L’occasion pour Maître Liz DIEYI, avocate, de faire l’apologie de la protection des droits fondamentaux de la femme comme inscrite dans les lois de la République, principalement dans la Constitution du 18 février 2OO6 en ses articles 11, 14 et 15.
Dans la foulée, Habel MUKOMO, troisième intervenant, a de prime abord établi la différence existant entre les concepts “chômeur” et “sans emploi”.
À l’en croire, le premier est celui qui a travaillé pendant un certain temps mais qui a perdu sa profession, tandis que le second est celui qui n’a jamais travaillé de toute sa vie.
Par la suite, ce syndicaliste et acteur politique congolais a salué l’intégration des cours à caractère entrepreneurial dans les cursus secondaire et universitaire en République Démocratique du Congo. Il en appelle ainsi à la mise en œuvre d’autres réformes sur la question.
Des femmes journalistes, c’est fréquent dans la société congolaise. Mais les éditrices des Journaux, c’est rare. Pourtant, c’est dans la création des contenus sur l’actualité que Édith META, dernière panelliste de cette cérémonie historique, a choisi d’émerger.
Éditrice du journal “Elaïes Hebdo”, cette femme aux vertus cardinales a indiqué que l’entrepreneuriat est une affaire de tous, car tout citoyen congolais est libre d’entreprendre, sur l’ensemble du territoire national, toute activité commerciale, sociale ou civile de son choix et d’y mettre fin dans les conditions fixées par la loi.
Passionnée par l’émergence du géant Congo, Cobrine BOEMBOLA, initiatrice et coordinatrice nationale de la structure “BOEM’S FESTIVE” suggère de revisiter les grands chantiers de la République en lice dont le développement du capital humain, facteur prédominant pour favoriser la croissance économique d’un pays.
La cérémonie de clôture a été marquée également par la remise de brevets aux participants, une vingtaine, reconnaissant leur engagement.
La présente distinction souligne non seulement leur talent, mais aussi leur potentiel à embrasser carrières diverses et contribuer considérablement à l’essor du Grand Congo.
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