Pour tout jeune, prendre conscience de son identité, est un devoir unique.
À coup sûr, la jeunesse est à la fois le présent et la prospective d’une nation.
Telle est la mise en demeure donnée par “Vie d’Impact”, en marge de la Journée Internationale de l’enfant africain, célébrée le 16 juin de chaque année.
Implantée en RDC il y a belle lurette, cette structure d’appui à l’éducation spécialisée dans la promotion de la culture, de la lecture et de l’écriture, fait sans arrêt un point d’honneur sur l’investissement de tout un chacun dans le domaine de l’éducation, afin de promouvoir le goût de la lecture, l’écriture et autres éruditions prestigieuses au profit des jeunes.
Il ne fait l’ombre d’aucun doute que chaque enfant africain mérite une éducation de qualité, qui respecte sa culture, encourage le patriotisme surtout développe ses capacités intellectuelles, a laissé entendre dans communiqué de presse, l’ambassadeur de l’éducation Gary Neville KABASUBABU, coordonnateur national de “Vie d’Impact”.
Et d’ajouter : “Nous œuvrons pour que la lecture devienne véritablement une habitude et non une contrainte. L’idéal serait qu’elle serve d’expression libre et que l’enfant, de son plein gré, trouve sa place dans une société qui protège ses droits les plus fondamentaux”, renchérissait-il.
Axée sur le développement du capital humain, la structure “Vie d’Impact” fait remarquer que le développement du goût de la lecture, principalement chez les plus jeunes, nécessite la présence suffisante des bibliothèques qu’elles soient scolaires ou publiques.
Ceci implique un accès facilité et illimité aux livres, un environnement propice à la découverte et à l’exploration, et des activités ludiques autour du livre, favorisant ainsi l’éveil et le plaisir de la lecture, dans l’esprit de bâtir une génération encore plus forte, instruite et bien-sûr fière de ses origines.
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